Un enfant qui a tendance à mentir, ce n’est jamais bon signe. Les enfants mentent parfois, c’est normal. Mais quand cela devient fréquent ou que cela concerne des sujets plus sérieux, il y a de quoi s’inquiéter. Que ce soit pour éviter de se faire punir, obtenir un jouet ou juste vous faire céder à ses caprices, ne commencez pas par vous fâcher, mais tenter de comprendre cette réaction.
Les mensonges qui ne donnent pas à paniquer
Une grande imagination n’a rien de bizarre pour un enfant. S’il aime vous charrier ou vous raconter des histoires pour vous faire rire, il n’y a pas de quoi paniquer. Une imagination bien riche prouve que votre enfant est en bonne croissance. Il n’y a donc pas à paniquer.
Il est d’ailleurs normal qu’un enfant ait du mal à distinguer le rêve de la réalité. C’est pour cela qu’il vous racontera des histoires extra ordinaires tout en paraissant être sincère.
Ne le freinez pas dans ces imaginations, au contraire, vous devez le comprendre et analyser la chose. C’est d’ailleurs la meilleure chose que je puisse vous conseille de faire !
Qu’en est-il des vrais mensonges
Les vrais mensonges sont ceux que les enfants font dans le but de ne pas se faire punir ou esquiver une corvée ? Ces derniers ouvrent automatiquement à réflexion.
Pourquoi font-ils cela ? Les raisons peuvent être multiples. Ils peuvent vouloir faire les intéressant avec vous, obtenir des cadeaux… À vous de voir par rapport à votre vie de famille.
Comment réagir si les mensonges deviennent trop fréquents ?
Si vous remarquez que les mensonges deviennent trop fréquents avec votre enfant, vous devez réagir. Discutez avec lui pour comprendre pourquoi il fait cela.
Ne le grondez pas tout de suite, cela ne servirait à rien. Il recommencera par la suite.
Parlez-lui calmement, il se confiera mieux à vous.
Les enfants qui mentent, certains disent que c’est normal, d’autres non. Je suis maman de trois enfants, et les mensonges croyez-moi ce n’est pas ce qui manque ! Il faut tout simplement essayer de comprendre. Au bout du compte, ce n’est pas aussi difficile que ce qu’on veut bien croire.